Face à la puissance des IAs, il faut trouver notre meilleur équilibre créatif, faire en sorte que notre production reste une source d’énergie, de plaisir et de fierté… 🌟
👉 Pour cela, considérer les IA génératives comme un outil s’intégrant dans un processus distinct de l’intuition humaine est nécessaire pour renforcer son humanité créative, pour créer et ne pas se contenter de générer des contenus.
Le creative problem solving, le brainstorming, et le post-it sont autant de méthodes, de techniques et d’outils pour développer la créativité individuelle et collective.
✅ Cependant, ils ne remplacent pas l’étincelle créative, l’intuition humaine qui fait la différence.
🤔 Imaginer les IA nous diluant, comme des cyborgs, nous donnant l’illusion d’avoir fait acte d’intelligence serait une erreur.
Cette proximité pourrait encourager la paresse et menacer l’énergie créatrice au cœur de notre instinct de vie.
L’idée 💡 du Centaure développée par Ethan Mollick est particulièrement intéressante : elle propose une répartition des rôles et des tâches dans la démarche de collaboration entre l’humain et la machine de manière très distincte.
Le Centaure, avec un corps humain ayant une frontière claire avec celui du cheval, symbolise cette division, tout en offrant une connexion et une interopérabilité extrêmement fluides.
✅ Le modèle du Centaure permet de trouver le meilleur équilibre créatif, en restant à l’initiative, et en faisant de notre production une source d’énergie, de plaisir et de fierté.
Un pari, une nouvelle démarche créative à inventer tous ensemble !
Retrouvez le post Linkedin de Stéphane Ely, membre fondateur de ias.agora.