C’est un peu comme ça que je décrirais le #backlog d’un projet complexe où l’on part à la découverte de l’inconnu, espérant trouver une idée, une façon de faire, une technologie, un process, etc.
Dans ce genre de contexte, mieux vaut suivre un cap pour éviter de se perdre. Et c’est précisément le rôle du backlog, cette liste d’actions organisées, priorisées selon les urgences de l’exploration. Elle fédère l’équipe autour d’une feuille de route commune et évolutive.
À chaque début de #sprint, l’équipe sélectionne dans le backlog les actions clés à mener dans la liste pour avancer dans le projet. Celles-ci sont alors figées pendant toute la durée de l’itération et l’équipe s’engage à les mener à bien dans le temps imparti. Le reste de la liste continue d’évoluer pendant l’itération, avant d’être éventuellement sélectionné pour un prochain sprint.
Le backlog, c’est la boussole grâce à laquelle on avance pas à pas dans la bonne direction, en figeant un cap pour un temps (court) donné. Un beau moyen de réduire la #complexité d’un projet pas à pas!
Un outil collaboratif comme on les aime chez iasagora : dynamiser le collaboratif pour oser l’inattendu !
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