Comme toute researcher qui se respecte, j’utilise les IA génératives comme de véritables sparring partners au quotidien.
Quelle chance d’avoir accès à leur puissance analytique et à la richesse de leurs connaissances !
Mais paradoxalement, plus je travaille avec elles, plus je me recentre sur ce qui fait l’essence du quali : les leviers profonds de perception et d’appréciation — ceux qui reposent sur les ressentis émotionnels et sensoriels, souvent implicites, rarement verbalisés.
Impossible de s’en tenir à des questions rationnelles ou à une simple analyse de discours : pour détecter les insights qui fondent un positionnement fort, il faut explorer le sensible.
Et pour cela, rien ne vaut les techniques projectives : voyages imaginaires, collages, métaphores…
Ces méthodes permettent de révéler ce qui se joue sous la surface, là où se niche la vraie richesse qualitative.
Et quand vient le moment de concevoir des dispositifs qui allient profondeur projective et opérationnalité stratégique, je laisse les IA de côté et je retrouve mon binôme humain, Clotilde Lacambre chez iasagora.
Parce que l’intelligence émotionnelle, c’est nous !
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