De la puissance de la sémio, et de la pertinence d’hybrider les méthodes !
J’avoue… j’avais oublié à quel point une analyse sémiotique peut éclairer, inspirer, et être nécessairement complémentaire à une exploration consommateurs !
Pourtant, je l’avais découvert à très bonne école avec le Master pro sémiotique et stratégie de l’Université de Limoges. Spéciale dédicace à TSALA EFFA Didier et Jean Paul Petitimbert pour la richesse de leur transmission et les collaborations qui ont suivi 🙏
Et pendant quelques années, j’avais le réflexe d’intégrer un petit éclairage sémio ou de recommander la réalisation d’une analyse sémio confiée à un expert. Et puis le réflexe s’est étiolé (certainement à cause de la nécessité de convaincre / de « vendre » la sémio en supplément du quali)… Quelle erreur !
Dans le cadre d’un exploratoire sur une catégorie par exemple, la sémio permet d’établir une « topographie » (aka « carré sémiotique ») dans laquelle on repérera les positions occupées par telles ou telles marques ou gammes de produits, et surtout on identifiera – s’il y en a – les positions occupables, c’est-à-dire laissées vacantes par les concurrents… Des sortes d’océans bleus dans les discours et territoires occupés par l’univers concurrentiel !
Un éclairage puissant en matière de positionnement marque et produit, de mix packaging, mais aussi en matière d’inno…
La sémio, à découvrir ou à redécouvrir ! … Et sans doute à mailler avec d’autres approches, pour encore mieux conjuguer la compréhension et l’action…Activez pour voir l’image en plus grand.
Retrouver le post Linkedin avec Hélène, membre fondatrice de ias.agora.
